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Séance spéciale

Ciné-concert évènement : "Circe the Enchantress", Robert Z. Leonard, 1924 (55min)

Dernières places, réservation conseillée


Circe the Enchantress (Robert Z. Leonard, 1924) © Wisconsin Center


Circe the Enchantress

1924, 55min

États-Unis

Réalisation : Robert Z. Leonard

Scénario : Douglas Z. Doty

Photographie : Oliver T. Marsh

Chef décorateur : Cedric Gibbons

Production : Robert Z. Leonard, Tiffany Productions

Avec : Mae Murray, James Kirkwood, Tom Ricketts, Charles Gerrard, William Haines, Lillian Langdon, Gene Cameron


Dans une villa de l'île mythique d'Aeaea, la sorcière Circé, fille du dieu du soleil Hélios, transforme les marins d'Ulysse en porcs. Pendant ce temps, dans sa villa semblable à celle de Gatsby le Magnifique, sur la rive nord de Long Island, Cecilie Brunne (la Circé moderne) donne l'un de ses dîners de jazz, entourée d'une bande d'admirateurs ivres. Cecilie a l'intention de séduire son voisin, le célèbre chirurgien Wesley Van Martyn, mais celui-ci repousse ses avances.


Format de la copie : DCP

Provenance de la copie : Národni filmový archiv


Ciné-concert avec Kolia Chabanier (piano et composition), Émile Parisien (saxophone), Ariel Tessier (percussions)


Musicien éclectique et passionné, Kolia Chabanier s’intéresse à la musique sous toutes ses formes. En classique, il étudie le piano auprès de Christophe Bukudjian et Carine Zarifian tout en menant parallèlement des études d’écriture au Conservatoire de Paris (CNSMDP) dans les classes de Thibault Perrine, Cyrille Lehn, Guillaume Connesson et Thierry Escaich. Son intérêt pour d'autres pratiques musicales se développe très tôt au contact de sa famille, notamment pour les musiques de tradition orale d’Europe de l’Est, pour le jazz et pour l’improvisation. Dès l’adolescence, il étudie le jazz au CRR de Paris auprès de Benjamin Moussay, Emil Spanyi, Airelle Besson et fréquente régulièrement les clubs de jazz parisiens. En 2020, il entre dans la classe d’improvisation au piano de Jean-François Zygel au CNSM de Paris.



Figure essentielle d’un jazz français créatif et inspiré, Émile Parisien a parcouru ce début de siècle comme peu ont su le faire : jeune pousse de Marciac au tournant des années 2000, le saxophoniste alto et soprano s’est appliqué à explorer la tradition et l’histoire tout en les dépassant largement. Une évolution qui doit beaucoup à la curiosité d’Émile Parisien, dont le profil d’étoile montante du jazz s’est peu à peu affiné pour laisser transparaître un artiste plus complexe à l’esprit aiguisé, au-delà d’évidentes apparences. Depuis ses collaborations avec Daniel Humair, Vincent Peirani, Joachim Kühn ou Michel Portal jusqu’aux innovations aux côtés de Jeff Mills ou avec son quartet chez ACT, Émile Parisien s’est imposé, en France et à l’échelle européenne, comme un catalyseur d’idées nouvelles, jusqu’aux confins de territoires balisés. Un trait tiré entre les deux pôles d’une musique en mouvement : une philosophie toute trouvée pour le nouveau sextet d’Émile Parisien, baptisé Louise, aux côtés des français Roberto Negro et Manu Codjia, grâce auquel le saxophoniste franchit l’Atlantique pour s’associer aux américains Joe Martin, Nasheet Waits et Theo Croker. Son projet le plus ambitieux à date, à n’en pas douter.



Originaire de Pau où il débute la batterie puis les percussions classiques, Ariel Tessier parfait son apprentissage en suivant les cours de la classe de Jazz du CRR puis du CNSM de Paris dont il sort diplômé en juin 2013. En octobre 2015 il passe son premier séjour à New-York qui s’avère décisif. Musicien très actif sur la scène parisienne, il se produit régulièrement en France et à l’étranger au sein de nombreuses formations avec des musiciennes et musiciens issus principalement de la jeune génération tels que Macha Gharibian, Lou Tavano, Bloom, Pan-G, Louise Jallu, Julien Soro, mais aussi avec des musiciens de renom tels que Riccardo Del Fra, Pierrick Pedron, Antoine Hervé, Emmanuel Borghi ou Pierrejean Gaucher. Il est lauréat de plusieurs concours nationaux dont celui de « Jazz à la Défense » (2e et 1er prix respectivement en juin 2011 et 2012), ainsi que du dispositif « Jazz Migration » en 2016, 2018 et 2021 avec les groupes Pj5 du guitariste Paul Jarret, House of Echo du pianiste Enzo Carniel, et Charley Rose Trio du saxophoniste Charley Rose.




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